Micoud

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 TEXTE Never gone to Vienne

Avant que je n’aille Vienne, la ville résonnait déjà dans mes oreilles par le biais d’un tempo particulier, qui est celui de la valse. Me rappelant ainsi une chanson de François Feldman sorti l’année de ma naissance. Lente ou rapide, la valse a le pouvoir de mettre en mouvement plusieurs corps dans un espace délimité par des frontières et dans une cadence qui lui est propre. Un voyage virtuel m’a permis de percevoir une ambiance, de créer un imaginaire et me plonger dans un rêve de la ville basé sur une richesse culturelle. C’est alors que je n’ai pas dansé une valse avec Vienne. Cet échange corporel et mental me permet de comprendre comment la ville c’est formé sa propre identité, mais pas la façon dont la vie la restitue. De grands noms ont laissé une emprunte de leurs valse à vienne. Qu’elle soit musicale, mémorial, théâtrale ou éphémère, elles ont fait l’objet d’un partage et exprimée un savoir qui me sera j’espère dévoilé lors de ma valse physique avec Vienne.

ANTHONY MICOUD
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 En vue d'un générique.....

 

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VUE AÉRIENNE DE VIENNE
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31 Octobre 2011
ORGANIGRAMME
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CARTES POSTALES
Retour de Vienne





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9 novembre 2011

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16 novembre 2011

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Option maquette

























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Boire un café.
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Se renseigner.

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Planche 14/12/2011
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Synthèse du projet.

CREUSER
 Le projet constitue un travail sur le paysage. Il part d’une analyse et d’un constat des différentes épaisseurs du site (visuelles, bâties, végétales, sonores, liées à l’eau et au vent) et l’épaisseur du parc. Dans la même logique, le projet vient recréer une épaisseur. Le travail de rampe permet de révéler et de prendre conscience de ce que nous offre le site.
ANCRER 
 Cette rampe vient créer une nouvelle épaisseur car elle emmène dans un souterrain. On y trouve les espaces du programme traités de manière rustique, avec des pierres massives pouvant aussi faire office de tables ou de chaises. Au bout de la rampe, on vient finir la descente en entrant dans l’espace qui serait « phare » dans le projet : la salle de spectacle.
ENVELOPPER
Entre la rampe et la sous face du pont, on trouve la médiathèque et la bibliothèque qui sont traitées d’une autre manière. Ici, le travail de l’épaisseur est différent car elle enveloppe le vide. De ce fait on travail la matière de manière « tranché » et non « gratté ». C’est pourquoi on retrouve des incisions venant moduler les espaces intérieurs.
Questions posées aujourd’hui, comment faire monter en puissance le projet : par les détails, les jeux d’ombres, de lumières, et de matières ?
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